DUOS D'ARTISTES 2020
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Amélie Dionoski
Amélie Dionoski
Gabrielle Desmarais
Mylène
Michaud
Jana
Sterbak
Toshiko Horiuchi-Macadam
Paryse
MARTIN
Christian Michaud
André Médard Bourgault
Denis
Raby
Ivon Bellavance
Amélie Dionoski
travaille à la frontière du banal et de l’insolite. Elle crée des objets décoratifs et utilitaires où la broderie reprend à son compte une imagerie à la fois souriante et subversive. Par ses références au pop art à l’érotisme soft des années 70, son travail questionne le kitsch et le vintage et l’ornement, autant au niveau du sujet que du médium. Avec juste ce qu’il faut de nostalgie, d’humour et d’irrévérence, ses dessins brodés nous renvoient à nos propres malaises et nos tabous. Née en 1983 à Saint-Gervais de Bellechasse, Dionoski tombe dès l’enfance dans les vieux tissus rétro, les rouets, les pelotes de guenilles à catalogne et les dentelles au crochet de sa grand-mère. Après des études en design, impression et construction textile, elle fait de la broderie son médium de prédilection (machine à broder industrielle). Elle a collaboré avec plusieurs artistes dont, entre autres, Klo Pelgag.
RENCONTRE
DIONOSKI
X
MARTIN
Les univers de Dionoski et Martin se rencontrent dans la théâtralité, la folie et la démesure. Leur rencontre propose un va-et-vient entre l’intime et le social, le décoratif et l’art actuel. Par son expérience en sculpture et ses nombreuses œuvres d’intégration à l’architecture, Paryse Martin apportera des notions d’appropriation de l’espace et d’utilisation de l’environnement. Au-delà des thèmes et des similitudes dans les univers plastiques de ces artistes, d’importants enjeux liés à l’apport de la technologie dans le geste artisanal seront abordés à travers leur sculpture.
Paryse Martin
Paryse Martin privilégie une pratique multidisciplinaire en associant dessin, sculpture, installation et animation. Inspiré de l’univers de la nature, de la poésie et des contes fantastiques, son travail surréaliste et baroque se livre à une logique qui n’appartient qu’aux rêves, aux contes. L’artiste s’amuse à créer des œuvres à la fois étranges et attirantes. Paryse Martin se sert des techniques traditionnelles de l’art et emprunte aux disciplines de l’artisanat, à l’art populaire et aux ouvrages d’enjolivement des femmes. La valorisation de gestes simples, la mise en place de stratégies ludiques, l’établissement de protocoles variés induisent une dimension inattendue qui révèle un esprit joueur et encouragent le visiteur à vivre une expérience esthétique dense et sensuelle mettant en exergue les paradoxes de notre existence.
L’artiste, qui vit et travaille à Québec, nourrit un attachement particulier pour Saint-Jean-Port-Joli. En effet, entre 1986 et 1992 elle effectua plusieurs résidences de création au centre Est-Nord-Est. C’est à l’occasion de ces résidences qu’elle expérimente pour la première fois la sculpture et l’intègre alors dans sa pratique active. Elle détient aujourd’hui un doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM. Plusieurs fois boursières du Conseil des Arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres du Québec, elle a réalisé de nombreuses expositions au Québec, au Canada et à l’étranger. Ses œuvres font partie de plusieurs collections privées et publiques notamment la collection permanente et Prêt d’œuvres d’art du Musée national des beaux-arts du Québec, la Collection Desjardins de même que la Collection Ivanhoé Cambridge. Paryse Martin a également réalisé plusieurs œuvres d’art public dans le cadre de la politique d’intégration des arts à l’architecture.
Amélie Dionoski
travaille à la frontière du banal et de l’insolite. Elle crée des objets décoratifs et utilitaires où la broderie reprend à son compte une imagerie à la fois souriante et subversive. Par ses références au pop art à l’érotisme soft des années 70, son travail questionne le kitsch et le vintage et l’ornement, autant au niveau du sujet que du médium. Avec juste ce qu’il faut de nostalgie, d’humour et d’irrévérence, ses dessins brodés nous renvoient à nos propres malaises et nos tabous. Née en 1983 à Saint-Gervais de Bellechasse, Dionoski tombe dès l’enfance dans les vieux tissus rétro, les rouets, les pelotes de guenilles à catalogne et les dentelles au crochet de sa grand-mère. Après des études en design, impression et construction textile, elle fait de la broderie son médium de prédilection (machine à broder industrielle). Elle a collaboré avec plusieurs artistes dont, entre autres, Klo Pelgag.
RENCONTRE
DIONOSKI
X
MARTIN
Les univers de Dionoski et Martin se rencontrent dans la théâtralité, la folie et la démesure. Leur rencontre propose un va-et-vient entre l’intime et le social, le décoratif et l’art actuel. Par son expérience en sculpture et ses nombreuses œuvres d’intégration à l’architecture, Paryse Martin apportera des notions d’appropriation de l’espace et d’utilisation de l’environnement. Au-delà des thèmes et des similitudes dans les univers plastiques de ces artistes, d’importants enjeux liés à l’apport de la technologie dans le geste artisanal seront abordés à travers leur sculpture.
Paryse Martin
Paryse Martin privilégie une pratique multidisciplinaire en associant dessin, sculpture, installation et animation. Inspiré de l’univers de la nature, de la poésie et des contes fantastiques, son travail surréaliste et baroque se livre à une logique qui n’appartient qu’aux rêves, aux contes. L’artiste s’amuse à créer des œuvres à la fois étranges et attirantes. Paryse Martin se sert des techniques traditionnelles de l’art et emprunte aux disciplines de l’artisanat, à l’art populaire et aux ouvrages d’enjolivement des femmes. La valorisation de gestes simples, la mise en place de stratégies ludiques, l’établissement de protocoles variés induisent une dimension inattendue qui révèle un esprit joueur et encouragent le visiteur à vivre une expérience esthétique dense et sensuelle mettant en exergue les paradoxes de notre existence.
L’artiste, qui vit et travaille à Québec, nourrit un attachement particulier pour Saint-Jean-Port-Joli. En effet, entre 1986 et 1992 elle effectua plusieurs résidences de création au centre Est-Nord-Est. C’est à l’occasion de ces résidences qu’elle expérimente pour la première fois la sculpture et l’intègre alors dans sa pratique active. Elle détient aujourd’hui un doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM. Plusieurs fois boursières du Conseil des Arts du Canada et du Conseil des arts et des lettres du Québec, elle a réalisé de nombreuses expositions au Québec, au Canada et à l’étranger. Ses œuvres font partie de plusieurs collections privées et publiques notamment la collection permanente et Prêt d’œuvres d’art du Musée national des beaux-arts du Québec, la Collection Desjardins de même que la Collection Ivanhoé Cambridge. Paryse Martin a également réalisé plusieurs œuvres d’art public dans le cadre de la politique d’intégration des arts à l’architecture.